Lilypie 2ème anniversaire Ticker

lundi 31 mai 2010

lundi 2 novembre 2009

lundi 19 octobre 2009

Les plaintes de touristes les plus absurdes

1. Un touriste résidant dans un Lodge africain de luxe s’est plaint parce qu’il a observé un éléphant sexuellement très excité du haut de sa chambre. Il affirme que la scène a gâché sa lune de miel en lui donnant des complexes.

2. Un autre s'est plaint: «J’ai été piqué par un moustique – personne ne m’avait dit que les moustiques piquaient.»

3. «Nous avons réservé une excursion dans un parc aquatique mais personne ne nous avait dit qu’il fallait apporter nos maillots de bain et nos serviettes».

4. «Mon fiancé et moi avions réservé uen chambre avec deux lits simples mais on nous a donné une chambre avec un lit double. Vous êtes responsable de ma grossesse. Je ne serais jamais tombée enceinte si vous nous aviez placés dans la bonne chambre.»

5. «Les plages «topless» devraient être interdites. Mes vacances ont été ruinées: mon mari a passé ses journées à regarder les autres femmes.»

6. «Il y a trop d’Espagnols. La réceptionniste parle espagnol. La nourriture est espagnole. Il y a trop d’étrangers.»

7. «La plage était trop sablonneuse.»

8. «Personne ne nous a avisés qu’il y avait des poissons dans la mer. Les enfants ont eu très peur.»

9. «Je crois qu’il devrait être mentionné dans la brochure que la boutique locale ne vend pas de biscuits convenables, par exemple à la crème ou au gingembre.»

10. «Notre vol de la Jamaïque vers l’Angleterre a duré neuf heures alors que les Américains, eux, ont eu un vol de trois heures seulement pour rentrer chez eux.»

mercredi 15 juillet 2009

jeudi 11 juin 2009

vendredi 8 mai 2009

mardi 21 avril 2009

Petit mannequin 2009

Faites gagner notre fille à petits mannequins 2009

http://espace.canoe.ca/group/filles02ans/album/view/546092

Allez voter svp!!!!
Ça prend 30 secondes et c'est gratuit (appréciation de l'album /5)!


vendredi 13 mars 2009

Temps pis

Tu vois c’est bête parfois, on dit des choses comme ça, comme on effleure du bout des doigts.

Tu vois c’est bête parfois, on se sourit comme toujours, puis on s’embrasse comme d’habitude.

C’est bête tu sais, on ne pense pas. On a juste des moments en soi, déposés comme ça par les années. Mais on ne pense pas, on collectionne, comme si c’était normal cette accumulation de moments partagés.

On mesure rarement ce que l'on s'aime.

Je n’ai rien dit tu sais, je n’ai rien dit. Sauf des tas, des amas de mots qui évoquent parfois et se bercent toujours.

Et le temps tasse sans taire, et le temps tait sans tuer.

J’ai tout écrit et à rendre sourd, le bruit des yeux s’y égare toujours. De mine de feutre en mine de rien, je grave les cris aux interlignes. Mes paragraphes repeints pour ne pas vendre ma peau, les bon sens se décuplent à en perdre le haut.

J’ai tout écrit tu sais, j’ai tout écrit. Sauf les mots exacts, les évidents qui me giflent parfois et se cachent toujours.

Je suis imparfaite, tu es imparfait. Nous sommes présents.

mardi 3 mars 2009

Top 25 des lois les plus étranges de la planète

1- À Miami, en Floride, il est interdit de faire de la planche à roulettes dans un commissariat de police.
2- En Ohio, on ne peut pêcher un poisson en ayant les facultés affaiblies par l’alcool.
3- À Londres, un taxi n’a pas le droit de transporter ni chiens enragés, ni cadavres.
4- En Indonésie, la peine pour quelqu’un arrêté pour masturbation est… la décapitation.
5- Au Royaume-Uni, il est illégal de mourir dans les Chambres du Parlement.
6- En France, appeler un cochon Napoléon est interdit.
7- En Alabama, conduire un véhicule les yeux bandés pourrait AUSSI vous causer des ennuis avec la loi.
8- Au San Salvador, les conducteurs en état d’ébriété peuvent recevoir une sentence de peine de mort… avant d’être fusillés.
9- Au Royaume-Uni, un homme contraint d’uriner en public peut le faire seulement s’il vise la roue arrière de son véhicule et garde sa main droite sur sa voiture.
10- Poster une lettre sur laquelle un timbre a été apposé à l’envers est considéré comme un acte de trahison par la monarchie britannique.
11- En Floride, une femme célibataire qui saute en parachute le dimanche peut être emprisonnée.
12- Il est illégal de changer les vêtements portés par un mannequin dans la vitrine d’un magasin, à moins que la nuit soit tombée, dans l’état de Géorgie.
13- À Chicago, emmener son caniche français à l’opéra est formellement interdit.
14- Dans l’Ouest de la Virginie, seuls les bébés peuvent prendre place dans les poussettes.
15- Il est illégal de monter un chameau en Arizona.
16- À New York, on ne peut tirer sur un lapin depuis une voiture de tramway en marche.
17- À Singapour, fumer, cracher et nourrir les oiseaux dans les endroits publics, jeter des déchets par terre, mâcher de la gomme dans les transports en commun et ne pas tirer la chasse d’eau dans les toilettes publiques pourraient entraîner la récolte d’une bonne pile de contraventions!
18- Se baigner nu en Inde est illégal, même dans les destinations les plus touristiques.
19- Dénuder sa poitrine pour un bain de soleil est illégal sur la plupart des plages de Floride.
20- Vous rêvez de faire trempette dans la Fontaine de Trevi, en Italie? Attendez-vous à recevoir une amende salée, car se baigner dans une fontaine constitue une entrave à la loi.
21- Importer du porc au Yémen est un acte illégal. La sentence peut même aller jusqu’à la peine de mort!
22- En Pennsylvanie, dormir dans votre réfrigérateur pourrait vous conduire devant la justice.
23- Au Royaume-Uni, une femme enceinte a le droit de donner naissance à son enfant elle-même, même dans le casque d’un officier de police si cela s’avère nécessaire.
24- Au Vermont, une femme doit détenir une permission écrite de la part de son époux pour pouvoir porter un dentier.
25- À Londres, il est illégal de héler un taxi si vous avez la peste.

jeudi 22 janvier 2009

Je voeux

Mon Amour, je nous souhaite rien que du bonheur pour les années, les siècles, les millénaires à venir. Parce qu'il va sans dire qu'on va vivre très très vieux et qu'au fur et à mesure du temps qui passe, on apprendra tous les jours davantage à jouir de l'instant et à savourer cette chance d'être là.

Et même si parfois on s'écorche, même si parfois il y a des rues à sens unique où les murs des maisons sont tellement étroites qu'elles nous arrachent quelques lambeaux de peau, même si parfois nos lèvres se figent de n'avoir reçu certains baisers importants, même si parfois on maudit certaines heures de la nuit - et certains jours aussi -, certaines personnes d'avoir voulu être trop tout avec nous ou trop folles pour nous, ou pas assez ni folles ni assez tout, alors ça aura eu le mérite de prouver une chose à ceux qui sont morts et qui ne ressentent plus rien : on est vivants.

Rien que du bonheur pour les siècles à venir, ça veut dire que je te souhaite tout l'amour réparateur, tout le bonheur de pouvoir, au plus près, au plus proche, au plus profond, de vivre entier. La question étant : peut-on être entier, vraiment entier, c'est-à-dire avec sa vigilance, sans ce foutu petit fourmillement né des souvenirs épris de nos anciennes douleurs ? Cette petite acidité qui vous parcours le long de l'échine et qui vous secoue délicieusement : oui, on est vivants.

Je te souhaite rien que du bonheur, mais alors peut-être pas trop, de façon à ce que tu ne t'endormes jamais sur tes lauriers, dans un vaste lit de coton ouaté et forcément un peu menteur. Ou alors avec moi dedans...

Le plus nu possible.

Je voulais te dire que je t'aime (c'est comme ça) et que je suis heureuse de partager cette route avec toi, le plus longtemps possible. Quoi qu'il arrive.

Moi aussi

Tu sais, moi aussi, je parle fort pour qu'on m'entende.

Moi aussi, je fais mine de connaître et savoir.

Moi aussi, j'ai peur de l'insignifiance.

Moi aussi, j'ai peur de ne pas laisser d'empreinte sur le sable, de dents dans ton cou, mon sang sur tes gencives, mon poing dans tes livres, ma rage dans ta salive.

Or, moi aussi, parfois, j'ignore tout de ce que je suis.

Moi aussi, j'ai peur de m'endormir sans avoir quelqu'un à qui penser, même si c'est vieux, même si c'est moisi, parce que plutôt tout que le vide.

Moi aussi, je m'adonne à des facilités invisibles pour me faire croire que je brille à tes yeux, même si c'est pas vrai, même si c'est pas vrai. Moi aussi, je m'adonne à l'esthétisme et au formel pour oublier la fatuité de mes creux. Moi aussi.

Moi aussi, quand vient l'heure des loups, je n'ai même parfois plus de voix pour hurler ma déchirure, et quand bien même en aurais-je que je ne voudrais pour rien au monde la dire, que l'écrire sans la signer, sans me signer, sans saigner. Et même au cœur de mon anonymat, moi aussi, je tais des choses pour ne pas les réveiller.

dimanche 11 janvier 2009

Ma fille 2 mois et demi


Que crois-tu crier pour moi?

Je titube, m’affaisse et tombe.

Dans la chair ça fait plein de petits tessons, des miettes de gangrène. La brûlure ouvre à chaque pas.

Pourquoi ne cries-tu pas pour moi ?

Je vacille, me plie, m’effondre.
Dans la tête ça fait des gouttes de poison, des germes de ronces. La plaie enivre tous les rêves, les perfusions vomissent la sève.

Pourquoi ne cries-tu pas pour moi ?

Je bascule, me courbe, m’allonge.
Je me meurs de ce que tu n’imagines pas, de ce que tu sais, de ce que tu ne dis pas. Alors dis-moi, toi qui croises les bras, m’embrasses, dis-le-moi.

Pourquoi ne cries-tu pas pour moi ?

dimanche 14 décembre 2008

Sa naissance

La naissance de notre fille s'est très bien déroulée. Le matin du 22 octobre, à 38 semaines et 3 jours de grossesse, je dormais paisiblement quand tout à coup vers 9h j'ai entendu un gros *ploc*. Je me suis demandé si c'était Emy qui venait de faire ce si gros bruit, mais je me suis tout de même rendormie. Quelques minutes plus tard, en prenant ma douche, je sentais un inconfort dans mon ventre. En me séchant les cheveux, j'ai alors remarqué que je perdais de temps en temps quelque chose qui devait être du liquide amniotique. Je ressentais des douleurs aux 5 minutes. Je prenais donc une pause à chauque fois afin de terminer mes préparatifs. J'ai téléphoné à mon conjoint qui était à son bureau au sous-sol. En arrivant à l'étage, il a été surpris de ma demande de se rendre immédiatement à l'hopital. Habituellement cela prend plusieurs heures!!
À notre arrivée à l'hôpital, vers 10h30, les signes étant bien présents, l'infirmière ne nous a heureusement pas demandé de retourner à la maison. À mon arrivée mon col était déjà dilaté à 4cm. Il n'y avait personne d'autre qui accouchait en même temps que moi j'ai donc pu profiter à mon goût du bain tourbillon! Au retour dans la chambre, vers 1h30, mes contractions étaient aux 2 minutes depuis un bon bout de temps déjà, ce qui ne laissait que très peu de temps entre chacune! L'infirmère m'a par contre déçue en m'annoncant que mon col n'était rendu qu'à 6 cm de dilatation. Après environ 20 minutes de contractions consécutives sans aucune pause, j'ai réclamé avec force un épidural!! Étant pas assez dilaté à mon goût, je ne pouvais concevoir qu'il me restait plusieurs heures de cette intensité avant d'accoucher! Le médecin est arrivé rapidement et me l'a administré. 10 minutes plus tard, à 14h01, j'accouchais!!!! Je n'ai ressentis aucune différence avec l'épidural... je crois que cela n'a pas fonctionné!
Nous avons eu une belle petite fille de 5lbs et 9 onces qui a maintenant un mois et 3 semaines!

Nos yeux

Une fille aveugle avait un bon ami. Il était toujours là pour elle. Un jour, elle lui dit "Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi." Un jour, quelqu'un lui fît le don de ses yeux. Quand les bandages fût enlevés, elle fût capable de tout voir incluant son ami.

Il lui demanda, "Maintenant que tu peux voir le monde, te marieras-tu avec moi?" La fille le regarda et vit qu'il était aveugle aussi. La vue de ses paupières fermées la bouleversa. Elle ne s'attendait pas à cela. Qu'il ne puisse jamais la voir de toute sa vie la mena à refuser de le marier.

Son ami quitta en pleurs et quelques jours plus tard lui écrivit une note lui disant : "Prends bien soin de tes yeux ma chérie, car avant qu'ils deviennent les tiens, ils étaient les miens."

samedi 11 octobre 2008

mercredi 6 août 2008

Sens moral

80% des cas d'agression contre les enfants sont l'oeuvre de proches... Richard Bérard, Josef Fritzl

Où sont ceux qui devraient se mêler de ce qui ne les regarde pas ? Avons-nous donc tant la controverse en horreur qu'on accepte d'être une société qui préfère détourner le regard plutôt que d'intervenir ?

Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire, disait Albert Einstein. Il faut croire qu'Einstein n'a pas eu raison que sur la théorie de la relativité.

lundi 28 juillet 2008

Décompte à dormir debout

La marchande de quatre saisons a dû épouser celui du sable. Elle a dû s'endormir, peut être ne se réveillera-t-elle plus? C’est sûrement pour cela que le printemps n’a pas fait de bruit. Il n’y a pas eu d’hirondelles, que des parapluies.

L’été tout aussi discret ne propose aucune chaleur et l’automne pareillement va passer. Il n’y aura pas de vignes, que de la poussière à récolter. Quant à l’hiver plus moyen de l'oublier. La marchande de quatre saisons a dû accoucher de celui de la pluie.

Depuis, les marchands de rêves réclament des années pour se faire payer.

mardi 15 juillet 2008

Retour de Cuba

Sur le sable les mots se dessinent,
Petit à petit une phrase se devine.
Elle sera dans quelques heures,
Effacée par la marée douceur.

Sur le sable un souvenir,
A pris naissance, agréable à lire.
Reflétant la joie d’un moment,
Agréable à retenir.
Sur le sable déserté,
Les mots aidés par le vent,
S’effacent doucement.

jeudi 12 juin 2008

mercredi 11 juin 2008

Fait au Québec

Voici une petite histoire pas si étrange...

Jean Boudreau a commencé la journée tôt, ayant réglé son réveil-matin (fait au Japon) à 6 heures. Pendant que sa cafetière (faite en Chine) filtrait le café (cultivé au Brésil), il s'est rasé avec son rasoir (fait à Hong-Kong). Puis il s'est habillé avec sa chemise (faite au Sri Lanka), ses jeans (faits à Singapour) et ses chaussures (faites en Corée). Après avoir cuit son petit déjeuner dans son nouveau poêlon (fait en Inde) agrémenté de fraises (de la Californie) et de bananes (du Costa Rica), il s'est assis, calculatrice en main (faite au Mexique), pour calculer son budget de la journée.

En consultant sa montre (faite en Taiwan), il a syntonisé sa radio (faite en Chine), puis est monté dans sa voiture (faite au Japon) pour continuer sa recherche d'emploi, entre deux fermetures d'usines (au Québec). À la fin d'une autre journée décourageante, il décide de se verser un verre de vin (fait en France) en écoutant Britney Spears (refaite au É.-U.!), pour accompagner son dîner congelé (fait aux É.-U.), met ses sandales (faites au Brésil) et allume sa télévision (faite en Indonésie et achetée chez Wal-Mart), et puis se demande pourquoi il n'arrive pas à se trouver une bonne job payante, ici au Québec...

ACHETONS DES PRODUITS LOCAUX, C'EST DANS NOS POCHES QUE ÇA RETOURNE!

mercredi 4 juin 2008

Plaaayaa fin juin!

Je suis sur le sable chaud
Brûlant ma peau,
Brûlant ma chair
Malgré l'air.

Cet air salé,
Cet air sablé
Ne se trouvant que dans un seul univers :
Au bord de la mer.

Le soleil réchauffe l'eau,
Calcine ma peau,
Surchauffe ces petits grains,
Petits comme rien.

À la rencontre de mon bonheur, cheveux aux vents. Poussière de mer.

vendredi 2 mai 2008

Enfer/paradis

Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu. Il lui dit : Seigneur, j’aimerais savoir comment est le paradis et comment est l’enfer ? Dieu conduisit le saint homme vers deux portes. Il ouvrit l’une des portes et lui permit de regarder à l’intérieur.
Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde. Au milieu de cette table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à l’arôme délicieux. Le saint homme saliva d’envie. Les personnes assises autour de cette table étaient maigres, livides et malades. Elles avaient toutes l’air affamées. Elles tenaient des cuillères aux très longs manches, attachées à leurs bras. Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et cueillir une cuillérée. Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs bras, elles ne pouvaient ramener les cuillères dans leur bouche.
Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances. Dieu dit : - Tu viens de voir l’enfer.
Dieu et le saint homme se dirigèrent vers la seconde porte. Dieu l’ouvrit. La scène que vit le saint homme était identique à la précédente. Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût qui fit encore saliver le saint homme. Les personnes autour de la table étaient également équipées des cuillères aux longs manches. Cette fois, cependant, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient les uns aux autres en riant. Le saint homme dit à Dieu : - Je ne comprends pas !
- C’est simple, répondit Dieu, ça ne prend qu’une seule habilité. Ils ont appris à se nourrir les uns les autres tandis que les gloutons ne pensent qu’à eux-mêmes.

mercredi 23 avril 2008

Planification de retraite

Si vous aviez acheté pour 1000$ d'actions de Nortel il y a un an, aujourd'hui, cela vaudrait $49.00

Si vous aviez acheté pour 1000$ d'actions de Norbourg il y a un an, aujourd'hui, cela vaudrait $00.00

Avec Enron, vous auriez $16 .50 de rendement pour un montant initial de $1000.00

Avec WorldCom, vous auriez moins de $5.00 comme rendement.

Et si vous aviez acheté $1000 de Delta Airline, il vous resterait $49.00

Mais si vous aviez acheté pour $1000.00 de bière et de vin l'an dernier, que vous aviez bu toutes ces bouteilles et que vous aviez retourné les cannettes et les bouteilles à la consignation, vous auriez obtenu $214.00

En se basant sur ces données, le meilleur investissement est de prendre un coup solide et de recycler. ÀÀÀÀÀÀÀ.. vot' santé .. hips !

lundi 21 avril 2008

Échographie/ 12 semaines

Nous sommes allés aujourd'hui pour la 1ere échographie! C'est spécial de voir bouger dans son ventre et en même temps tellement rassurant de voir qu'il y a bel et bien de la vie. Il gigotait tellement qu'on a eu de la difficulté à entendre une bonne séquence pour le battement de son coeur!!! Il va a 160 pulsations/minute ce que le médecin a qualifié d'idéal. Il est très petit, 2 pouces de long donc nous n'avons pas su son sexe... la prochaine fois, dans 2 mois. Il semble en excellente santé puisque la petite tache derrière la nuque (clarté nucale) ne mesure que 1,2 mm. Ce qui est bon signe et ne laisse aucune possibilité concernant les trisomies...fiou! Sur cette photo, il a levé le bras dans les airs, pour nous dire bonjour... ou pour annoncer la victoire ce soir des Canadiens de Montréal haha on verra!

Il semblerait que nous allons mettre au monde un petit monstre d'Halloween puisque je devrais finalement accoucher le 31 octobre!!!

mardi 25 mars 2008

8 semaines

Cette semaine, je me sens ballonnée et encore beaucoup fatiguée. Je dois dormir environ 9 à 10h au minimum par nuit pour être fonctionnelle de jour! Je commence à trouver que certains aliments puent, comme l'oignon ou la viande hachée qui cuit. J'ai parfois des envies soudaines de chesseburgers ou de céréales Rice Krispies! Ma bédaine grossit beaucoup au fil de la journée, mais elle redevient plus plate le matin. Mon chum me trouve plus chialeuse... haha! Et je suis plutôt dans la lune... l'autre fois, j'ai couché la bouteille de lait dans le réfrigérateur sans fermer le bouchon. Oups! J'ai quelques fois la nausée, mais ça va aller.

En ce moment la tête de notre bébé est beaucoup plus grosse que le reste du corps à cause du cerveau qui se développe beaucoup. Les membres supérieurs se développent, les cavités du cœur sont présentes et le sang circule. Les structures osseuses apparaissent et un squelette primitif se forme. L’ossification du crâne et des mâchoires débute. Les muscles se développent. Les oreilles externes sont présentes. Bien qu’il n’y ait pas de différenciation sexuelle tangible, des glandes sexuelles embryonnaires apparaissent.

Cette semaine notre bébé mesure environ 12 mm (de la tête aux talons) et pèse environ 0,8 g

États d'âme d'un jeune retraité flyé et futur grand-papa

Salut Julie,

J'ai beaucoup pensé à toi cet après-midi. Je te partage donc mes réflexions, à savourer ou à grignoter peut-être...

J'ai aussi pensé à Émy ou Nikko... Je pense que ce sera Émy. Toujours est-il que j'ai pensé à elle aujourd'hui (ou à lui?). Eh oui, moi qui n'est pas prêt à devenir grand-papa, j'avoue qu'à chaque mouvement du pinceau sur la future chaise berçante, milles idées me venaient à l'esprit. En effet, ce fauteuil a presque mon âge, mais il est droit, miniature, solide et seul. Il a bien hâte de bercer cet enfant qui prendra la relève. Il a hâte d'entendre cette petite voix, ces propos purs et beaux, ces réflexions et ces maintes questions, ces déclarations et constatations... Cette berceuse aura une place particulière dans la vie d'Émy, elle la transportera vers des rêves et des fantaisies, la divertira dans les moments de lassitude et la consolera dans les moments de tristesse. Car nonobstant toutes les joies spontanées de ces petits anges, ils vivent d'intenses émotions, tout comme nous, vieux sages.

J'avais choisi d'être papa. J'ai fait des erreurs parfois et j'ai peut-être pas toujours été là lorsqu'il avait besoin de moi. Je travaillais la nuit, la fin de semaine, je composais avec le stress et avec sa mère qui me semblait parfois davantage acariâtre qu'empathique. Les années ont passé, mais aujourd'hui je suis récompensé, car les milliers d'heures partagées à écouter ses états d'âme, à le transporter assis sur mes épaules, à jouer au Légo ou aux autos, à rire d'un rien comme un débile, à jouer à n'importe quoi, bref à l'aimer, semblent avoir servi à former ce beau jeune homme, que je vois partir travailler très tôt le matin, plein d'espoir et de projets. Je l'aime toujours et j'en suis très fier. À l'aube de ses vingt ans, il partage encore le même toit, respecte ma fiançée, et surtout, il est bon. Ça n'a pas de prix! Un jour, il relèvera le roi lion.

Je n'ai pas choisi d'être grand-papa. Un beau matin, sans se douter de rien, la nouvelle est arrivée. Julie annonça à sa mère qu'elle portait un enfant, depuis quelques semaines déjà. Ma douce jubilait de bonheur et elle exprima ses joies haut et fort, sachant que sa fille était vraiment heureuse avec son prince charmant et sachant qu'elle était prête à assumer le plus grand défi de la vie, soit de tenir la main à un petit être, pendant plusieurs années, bref le temps qu'il quitte le nid vers des montagnes inconnues. Aujourd'hui, j'ai réalisé que j'étais chanceux, encore. Je vais probablement assister à un autre miracle de la vie et seconder occasionnellement évidemment, un autre petit ange qui se fera lentement une place de choix dans notre univers complexe, à la fois majestueux et tumultueux.

Grand-papa. Est-ce que ça s'apprend? Est-ce que je serai à la hauteur? Aujourd'hui ma petite Julie, je te déclare que quoique dans l'ombre lointain, le jour où vous nous confierai votre trésor, pour quelques heures et non des semaines (Je niaise), je ferai tout ce que je peux, encore, et au meilleur de ma connaissance pour donner à votre enfant de l'amour pur, doux et inconditionnel, de l'écoute vraie et active, du rire et du savoir; parce que j'aime ta mère, parce que je t'aime, parce que j'aimerais bien aimer Émy, comme j'ai aimé et comme j'aime encore mon fils. Bref, bonne grossesse!

D'un jeune retraité flyé, futur grand-papa numéro 3, en formation!

samedi 1 mars 2008

Dans ma bédaine...

Aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie,
Ma maman a vingt-six ans et elle est très jolie,
Mon papa aussi est très beau,
Deux petits pieds m'ont poussé,
Je peux maintenant donner des coups

Ma maman et mon papa ont choisi les couleurs de ma chambre,
Et je leur ai tenu compagnie...
Ce matin, nous sommes allés voir le médecin
Et il a dit que j'allais bientôt naître,

Pendant neuf mois, maman m'a aimé dans son corps,
papa dans sa tête,
tous les deux dans leurs cœurs.

Je suis un garçon,
J'aimerais bien m'appeler Nikko.

Je suis une fille,
J'aimerais bien m'appeler Emy.

vendredi 22 février 2008

Jean-François Mercier

Critique de Bell...à écouter jusqu'à la fin!

mercredi 20 février 2008

C'était en février

Il m’aura bien fallu deux majorités pour devenir presque adulte. C’était trop long devenir une femme. Vous n'avez rien manqué d’ailleurs m’sieur, je dormais sur mes acquis, aucun courage pour tout changer, je veillais sur des rancunes, je me réveillais sur des matelas de honte. Mais c'est bien finalement...

Ça a mis les ex assez solides pour faire la guerre. Ça nous a donné suffisament envie d’avoir la paix pour qu’ils puissent maintenant être cons tranquilles. Comme tu vois, la vie sait faire les choses. Finalement c'était peut-être toi.

Et puis tu as mis ton cul de 32 ans. Ce n'est même pas pour lui que je suis venue; pour vouvoyer mon passé et tutoyer de tendresse mon présent. On avait chacun nos parfums, des tas de doigts les avaient laissés sur notre peau. Ranger les bagues qu'on a plus le droit de porter, qu’on garde au doigt pour avoir l’air le coeur occupé.

Il m’arrive encore de me poser sur ta peau et d’avoir cette impression de bottes sur un plancher ciré... on passe une vie à s’excuser. Quand on regarde le ciel en redoutant le bonheur de peur que cela ne soit que pour mieux nous l’arracher, on hésite devant ce qui pourrait être l’instrument d’un Dieu vengeur.

Alors on avance, même pas de face, juste le nez un peu devant. On ose même pas regarder dans les yeux, on ose même pas dire, on arrive à peine alors, on se range à ce qu’on a d’amour pour l’autre au plus profond de soi et on lui écrit, le coeur bourré de peur… on lui écrit que:

Ce serait bien que cet automne, quelque part en novembre tiens, ce serait bien si on pouvait partager notre vie avec notre enfant.

mardi 29 janvier 2008

Nouvelles d'un jeune retraité flyé

Chers lecteurs, voici un texte de notre écrivain occasionnel... mon fabuleux beau-père!

Salutations!

J'ai le goût de mémérer et de partager mon bien-être (non, je suis sobre):

Six mois plus tard je tiens à vous remercier, encore peut-être. Même si je n'ouvre pas les diaporamas, que je ne réponds pas tout le temps au téléphone ni aux courriels et que je ne suis pas souvent chez moi, ça ne veut pas dire que je ne pense jamais à vous, travailleurs ou retraités. C'est que je suis occupé. Ne riez pas, c'est très sérieux. Auparavant, lorsque j'entendais les vieux retraités me faire accroire qu'ils manquaient de temps pour laver leurs vitres, faire leurs rapports d'impôt ou leur magasinage des fêtes, je me disais bien sûr, ils doivent être désorganisés en baptême ou rivés devant la télé à regarder des niaiseries... Bien vous savez quoi? Les vieux avaient peut-être raison.

En effet, comment voulez-vous que je trouve le temps pour en donner quand j'en manque! Il y a seulement 24 heures dans une journée, après avoir dormi, mangé et joué, ça prends tout de même une très bonne gestion pour réussir à garder sa pelouse vierge de toute mauvaise herbe, pour balayer son asphalte de tout flocon de neige et pour tenter de mémoriser les dernières variations de rumba! Sans compter qu'il faut constamment surveiller les aubaines, éviter les embouteillages, encourager des gens, planifier des voyages, lire le guide des vins, astiquer ses pneus et vider le lave-vaisselle! Je suis chanceux parce que ma blonde m'aide beaucoup, il lui arrive même parfois de m'apporter un verre ou un fruit lorsque je suis retenu dans le hamac, la balançoire, la piscine, la terrasse ou pire encore, lorsque je suis occupé dans mon bain, dans la salle de musique, dans la chambre de lecture ou dans l'atelier de bricolage.

Que voulez-vous... Cette semaine j'ai finalement défait mes boîtes de paperasses et de vêtements en souvenir du bureau puis j'ai relu mes cartes de retraite ou courriels de l'été dernier. J'aurais pu expédier ces remerciements au double ou au triple des destinataires, mais c'est vous qui m'avez le plus marqué, soit par votre comportement ou par vos témoignages. Certains commentaires étaient vraiment touchants et je vous en suis très reconnaissant. Après 36 ans à servir la société, ma bien-aimée et moi sommes infiniment heureux d'avoir finalement cette possibilité de savourer le vrai bonheur. Une retraite préparée et anticipée s'avère sans aucun doute le plus beau cadeau de notre vie.

Quand on est enfant, il faut écouter et étudier pour avoir le droit d'aller jouer, quand on est ado il faut étudier encore plus fort et commencer à travailler pour jouer un peu, mais à l'âge adulte on en a pour au moins une bonne trentaine d'années à se surpasser pour donner du confort à notre famille et malheureusement on ne joue plus qu'à l'occasion. En fin de carrière on joue rarement car on jongle souvent entre les derniers défis professionnels et le luxe tel l'achat d'un spa ou de fenêtres neuves. Il n'y a absolument rien de mal à l'abondance, mais l'illusion que le bonheur y est relié, c'est de la pure foutaise. Vous connaissez sûrement des millionnaires tristes et des clochards heureux, l'inverse est aussi vrai. La majorité pense retraite financière alors qu'il faudrait davantage, je crois bien humblement, penser retraite psychologique. En accrochant ses patins un peu avant l'âge d'or véritable, on accomplit deux bonnes actions: d'abord on çède la place aux plus jeunes qui en on bien besoin et on se récompense en jouant, tout le temps!!!

En toute modestie, j'aimerais encourager les jeunes en rappelant l'importance d'un fonds de pension, de REER ou d'économies ainsi que d'une modeste maison. Les pièges à éviter sont l'endettement, le divorce et le surmenage. Pour ceux qui sont déjà à mi-chemin, si jamais des épreuves majeures se dessinent en cours de route, se rappeler qu'il n'est jamais trop tard pour changer complètement sa vie et agir immédiatement en conséquence. Enfin, pour tous ceux dans la cinquantaine qui sont plus ou moins heureux avec leur conjoint, leur job, leurs finances, leur lieu de résidence ou les pressions sociales, ils ont le choix de subir ou savourer ces dernières années de vie.

Finalement, ne croyez pas complètement les actuaires, analystes et planificateurs qui suggèrent une deuxième carrière ou des placements à risques, car la longévité moyenne au Québec s'avèrerait dans les faits actuellement de 70 ans pour un homme et de 77 ans pour une femme. Grâce aux profits qu'ils font avec nous (autant les hypothèques, les placements et le résiduel de votre retraite non utilisé), ils oublient de dire qu'entre 50 et 65 ans, plus de la moitié des travailleurs ou retraités éprouveront des problèmes de santé physiques ou psychologiques divers, subiront des imprévus familiaux ou sociaux significatifs, que plusieurs échoueront financièrement et qu'ils n'auront jamais la chance de réaliser leurs rêves... S'il est vrai que la moitié des hommes vivent entre 71 et 81 ans, n'oubliez surtout pas que l'autre moité meurt entre 59 et 69 ans, après avoir été malade! La réalité, c'est ça.

Par conséquent, j'ai fait le choix de divorcer en 2000, de resserrer mes finances en 2003 et de lâcher ma job en 2007. Dans mon cas, ce fut le jackpot! Chacun a évidemment droit à sa perception de la vie et à la réalisation personnelle de ses objectifs. Je profite simplement de l'occasion pour provoquer des réflexions et pour vous dire que je suis un des hommes les plus heureux de la planète, par choix, et que ça n'a aucun rapport avec les orgasmes ou les finances. Le bonheur est à l'intérieur de chacun d'entre nous. Si je crève demain, j'aurai réussi à le connaître pendant quelques années et c'est absolument merveilleux. Tout en étant conscient que notre dernière heure est imminente, il est bon de se garder du temps pour s'amuser, réaliser ses passions, voyager et s'épanouir, jouir de ses hobbys, pratiquer ses sports, pleurer en regardant un film d'amour, écouter attentivement les gens positifs autour de nous et surtout, avoir le courage de leur dire qu'on les aime inconditionnellement, parce qu'on a pas de temps à perdre...

Bye bye et à bientôt! Merci et bonne fin de journée!

Vive la retraite!!!

vendredi 11 janvier 2008

Le centre

J'ai perdu les ceintures changeantes des horizons,
La mue des hivers, le décompte des moissons;
J'ai perdu la terre chaude et ses couvées,
La babel des nuages et ses échos levés;
J'ai perdu l'ornement qui trompe le visage,
Le déroulement des gestes parés comme des présages;
J'ai perdu tout le cercle à courir vers le centre,
J'ai quitté le jeu pour comprendre ton silence,
J'ai oublié la toupie chantante de mes jours
Pour ce point immobile et seul de l'amour.

Photo: http://coeficiencenet.typepad.com/

jeudi 10 janvier 2008

Les années défilent

Et ne se ressemblent pas. L’an dernier, les fêtes avaient été un feu roulant d’invités, de visiteurs, de sorties, de bouffe. Cette année, c’est le calme. D’abord parce que l’année a été difficile, il faut bien se l’avouer. Malgré toute ma volonté de ne voir que le positif et d’en être reconnaissante. Alors que les fêtes ne soient pas un tourbillon, c’est presque parfait.

Depuis hier, j’essaies de faire mon bilan de 2007. Une année de grands changements, mais pas sûre encore vers quoi. Une réalisation douloureuse de la fragilité des choses, de l’importance de profiter de chaque instant. Mais il n’y a pas eu que de grandes peines : 2007 a aussi été pleine de bonheurs, de joies, de moments parfaits. L’avantage de tenir un blogue, c’est de garder une trace pour soi de ces petits moments qui contrebalancent le reste.

J’ai aussi relu chacun de vos commentaires et je me suis passé une réflexion sur la qualité des gens qui sont intervenus ici. Je n’ai jamais été obligée de censurer qui ou quoi que ce soit et j’en suis ravie. Bloguer permet aussi de découvrir des gens qui autrement n’auraient jamais croisé ma route parce que mutuellement, nos histoires nous ont interpellées.

2007 aura été une année difficile, mais une année qui m’aura permis de grandir. Grâce à ma famille, à mes amis.

2008 sera une année exceptionnelle, me prédisent toutes les madame Minou de ce monde. Et pour une fois, j’ai envie de les croire: elle sera exceptionnelle car vous m’accompagnez!

mercredi 2 janvier 2008

Les périples hivernaux de Mr.X et de sa formidable compagne

J'ai reçu un formidable courriel aujourd'hui de mon beau-père et il m'a bien fait rigoler. Je souhaitais le partager avec vous, avec son accord...le voici!

Elle commence avec fracas cette année 2008! En effet, je n'ai jamais vu autant de neige au Jour de l'An ici dans les Laurentides, c'est un record (quelques photos ci-jointes, dont ta nouvelle souffleuse). Ce matin, le vent nous gelait les grelots (ou collait les babines pour les filles), les flocons se disputaient la course pour se faufiler dans nos bottes et les vertèbres des arbres suppliaient le soleil de les enlacer avant de craquer. Au déjeuner ce matin, les vieux habitués discutaient d'une pénurie mondiale de pelles, même qu'hier, un d'entre eux s'était fait volé ses deux pelles neuves qui étaient sécurisées dans sa voiture, stationnée à ce même restaurant. D'ailleurs il leva les yeux et scruta lentement tous les clients comme si un d'eux avouerait soudainement son crime, sans succès. Puis, secouant habilement ses bottines de construction délaçées et en martelant la table d'un poing assez impressionnant merci, il enchaîna de sa voix rauque ténor "Dans mon temps, blablabla".

Bref, ça fait jaser l'hiver, ça fait rouler l'économie aussi, même que chez "Gros et Martireault" ils paient les deux taxes! Who cares! OK, assez de niaisage, passons aux choses sérieuses. Après avoir supprimé une multitude de diaporamas et reçu maints voeux, après avoir laissé ma fiançée conduire à quelques reprises, après avoir relu les magnifiques cartes de Noël et défait les parures de l'arbre, il ne reste plus qu'à payer Visa, les assurances, les taxes, la marge de crédit, bref les fêtes sont finies! Ma douce moitiée en profite donc pour vous souhaiter un très bel hiver et moi un très beau printemps! Merci encore de nous avoir reçus, d'avoir partagé cette bonne bouffe, vos rires et vos sourires contagieux. Bientôt ce sera le temps de l'impôt, puis du chocolat, suivi des mini-jupes. Savourons donc ces délicieuses secondes de la vie, partageons notre empathie, mordons à pleines dents dans les défis et aimons-nous à l'infini... Bonne année!

Je vous aime aussi à l'infini!

mardi 1 janvier 2008

lundi 26 novembre 2007

Il doit y avoir un dieu

Est-ce que Dieu existe? Des sondages démontrent que 90% des gens de la planète croient en l'existence de Dieu ou d'une puissance surnaturelle. Pourtant, la responsabilité de prouver que Dieu existe est laissée à ceux qui croient déjà que Dieu existe. Je crois que ça devrait plutôt être l'inverse.

Beaucoup disent « Il doit bien y avoir quelque chose », d’autres « Il n’y a rien ». Un bon nombre d’athées s’imaginent qu’en niant l’existence de Dieu ils font qu’il n’existe pas… S’il n’y a pas de Dieu, je m’estime libre de tout choix physique, économique et social, philosophique et moral. Mais le puis-je en vérité ?

C’est le « Dieu inconnu » qui domine finalement tout en l’homme parce que l’homme n’est pas la fin de tout, et que pour vivre il lui faut une fin, un but. Nous avons beau nous dire que nous sommes notre fin en soi, nous avons besoin pour vivre du monde, qui ne dépend pas de nous ; nous avons besoin d’être aimé, désiré, apprécié et attendu. Quand personne n’espère plus rien de moi, quand je n’espère plus rien de moi ni du monde, ai-je encore envie de vivre ?

Le plus subtil apparemment c’est le dieu qui domine ceux qui érigent le doute en système : « Mais non, disent-ils, je n’ai absolument pas de Dieu, ni de substitut de dieu car je doute, je ne sais rien car il est impossible de savoir quoi que ce soit avec certitude. » Ne voyez-vous pas que ce « doute » devant qui tout doit s’incliner est le plus tyrannique des Dieux ? La question n’est sans doute pas « Est-ce qu’il y a un Dieu ? », mais plutôt : « Quel Dieu j’adore en fait ? »

Dans la tyrannie de ces doutes, l'année qui se terminera bientôt m'aura tout de même apporté un lot de chance incroyable. Je ne peux tout simplement pas concevoir qu'une telle chance puisse être possible sans personne pour veiller sur moi. Merci.

vendredi 16 novembre 2007

S comme dans Se plaire

Ce qui grise. Le gris justement, la zone d'ombre où s'écartent nos pieds. Cette frontière entre ce que nous devrions être, ce que nous rêvons de devenir, ce que nous serons et ce que nous sommes maintenant. Un purgatoire version sentimentalo-érotique, entre hier et demain, dans le no man's land de nos codes indéchiffrés.

Se plaire. Le geste banal plus que le reste. Le geste qui s'échappe, qui s'oublie. Le geste que tu ne sais pas qui caresse. Celui que tu fais parce que tu le fais depuis tout le temps probablement, bien avant que j'arrive pour le trouver troublant.

Ce qui effraie. Marcher sur ce fil de soie entre la peur et le désir sans savoir si je marche seule ou si tu es vraiment là près de moi. Et parfois on ne peut pas regarder trop à côté de soi parce qu'il faut avancer encore un peu, risquer de perdre pied, parce qu'en ne misant rien on ne récolte que le vide. Il faut oser un minimum, et sentir le fil ployer, c'est la condition pour gagner, oser se mouiller. Et regarder devant en t'invitant doucement à venir avec moi ne faire rien d'autre qu'être là. Se concentrer sur une chose: se plaire.

mercredi 14 novembre 2007

lundi 12 novembre 2007

Autour du bonheur

- Pour toi, c’est quoi le bonheur?
- Toi et tes questions à la Mafalda…
- Non, je suis sérieux: pour toi, c’est quoi le bonheur?
- Euh… Je ne le sais pas trop. C’est presque rien. Le bonheur, c’est... c’est quand la personne que tu aimes te dit qu’elle t’aime. C’est quand tu réussis à la faire rire. C’est quand tu la vois avoir un orgasme. C’est… C’est de revoir une amie qu’on a perdu de vue depuis longtemps. C’est un chien qui entend les pas de son maître dans l’escalier. C’est un compte de carte de crédit à zéro. C’est un mois avec trois paies. C’est un réveil-matin qui te réveille avant que tu te rendes compte que c’est samedi. C’est le rire de ton enfant. C’est quand le barman te paie un verre, comme ça, pour rien. C’est le sourire d’un beau gars que tu ne connais pas. C’est une botte de foin dans un champ par un beau jour d’automne… C’est un peu n’importe quoi. Ça dépend de ton regard, j’imagine… Et pour toi, c’est quoi Le bonheur?

- C’est avoir assez de temps avec un ami pour l’entendre énumérer ce qui le rend heureux.

- Tu vois, c’est ce que je disais; c’est presque rien et pas mal n’importe quoi...

samedi 10 novembre 2007

Drôles d'informations

Savez-vous d'où vient le mot kangourou?
Quand les anglais ont débarqué en Australie, ils ont vu un étrange animal qui sautait très haut. Ils ont alors demandé aux indigènes comment cet animal s'appelait. Ils ont répondu: Kan Ghu Ru. Les anglais ont donc adopté le mot: kangaroo pour désigner cet animal. Par contre, ce que les indigènes voulaient dire avec ce mot c'était plutôt: we don't understand you (kan ghu ru)!!!

Vous en voulez d'autres?? Regardez ce vidéo!


Add to My Profile More Videos

Notre enfant

Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir,
Si tu peux être amant sans être fou d’amour ;
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles,
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser, sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront ;
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un Homme, mon fils.

Pour notre prochain enfant mon chéri

samedi 27 octobre 2007

mercredi 17 octobre 2007

Principes de vie


1-Life is too short to wake up in the morning with regrets.
2-So love the people who treat you right, forget about the ones who don't.
3-Believe that everything happens for a reason.
4-If you get a chance, take it.
5-If it changes your life, then let it.
6-Nobody said it'd be easy, they just promised it'd be worth it.

vendredi 7 septembre 2007

How could you ....

Un homme de Grand Rapids au Michigan a payé 7000$ pour publier son article sur une page complète d'un journal.

HOW COULD YOU? - By Jim Willis, 2001

When I was a puppy, I entertained you with my antics and made you
Laugh. You called me your child, and despite a number of chewed shoes
And a couple of murdered throw pillows, I became your best friend.
Whenever I was "bad," you'd shake your finger at me and ask "How
Could you?" -- but then you'd relent and roll me over for a belly
Rub.

My housebreaking took a little longer than expected, because you were
Terribly busy, but we worked on that together. I remember those
Nights of nuzzling you in bed and listening to your confidences and
Secret dreams, and I believed that life could not be any more
Perfect. We went for long walks and runs in the park, car rides,
Stops for ice cream (I only got the cone because "ice cream is bad
For dogs" you said), and I took long naps in the sun waiting for you
To come home at the end of the day.

Gradually, you began spending more time at work and on your career,
And more time searching for a human mate. I waited for you patiently,
Comforted you through heartbreaks and disappointments, never chided
You about bad decisions, and romped with glee at your homecomings,
And when you fell in love. She, now your wife, is not a "dog person" -
- still I welcomed her into our home, tried to show her affection,
And obeyed her. I was happy because you were happy.

Then the human babies came along and I shared your excitement. I was
Fascinated by their pinkness, how they smelled, and I wanted to
Mother them, too. Only she and you worried that I might hurt them,
And I spent most of my time banished to another room, or to a dog
Crate. Oh, how I wanted to love them, but I became a "prisoner of
Love." As they began to grow, I became their friend. They clung to my
Fur and pulled themselves up on wobbly legs, poked fingers in my
Eyes, investigated my ears, and gave me kisses on my nose. I loved
Everything about them and their touch -- because your touch was now
So infrequent -- and I would've defended them with my life if need
Be. I would sneak into their beds and listen to their worries and
Secret dreams, and together we waited for the sound of your car in
The driveway.

There had been a time, when others asked you if you had a dog, that
You produced a photo of me from your wallet and told them stories
About me. These past few years, you just answered "yes" and changed
The subject. I had gone from being "your dog" to "just a dog ," and
You resented every expenditure on my behalf.
Now, you have a new career opportunity in another city, and you and
They will be moving to an apartment that does not allow pets. You've
Made the right decision for your "family," but there was a time when
I was your only family

I was excited about the car ride until we arrived at the animal
Shelter. It smelled of dogs and cats, of fear, of hopelessness. You
Filled out the paperwork and said "I know you will find a good home
For her." They shrugged and gave you a pained look. They understand >
The realities facing a middle-aged dog, even one with "papers." You
Had to pry your son's fingers loose from my collar as he
Screamed "No, Daddy! Please don't let them take my dog!" And I
Worried for him, and what lessons you had just taught him about
Friendship and loyalty, about love and responsibility, and about
Respect for all life. You gave me a good-bye pat on the head, avoided
My eyes, and politely refused to take my collar and leash with you.
You had a deadline to meet and now I have one, too. After you left,
The two nice ladies said you probably knew about your upcoming move
Months ago and made no attempt to find me another good home. They
Shook their heads and asked "How could you?"

They are as attentive to us here in the shelter as their busy
Schedules allow. They feed us, of course, but I lost my appetite days
Ago. At first, whenever anyone passed my pen, I rushed to the front,
Hoping it was you that you had changed your mind -- that this was all
a bad dream... or I hoped it would at least be someone who cared,
anyone who might save me.

When I realized I could not compete with the frolicking for attention
of happy puppies, oblivious to their own fate, I retreated to a far
corner and waited. I heard her footsteps as she came for me at the
end of the day, and I padded along the aisle after her to a separate
room. A blissfully quiet room. She placed me on the table and rubbed
my ears, and told me not to worry. My heart pounded in anticipation
of what was to come, but there was also a sense of relief. The
prisoner of love had run out of days.

As is my nature, I was more concerned about her. The burden which she
bears weighs heavily on her, and I know that, the same way I knew
your every mood. She gently placed a tourniquet around my foreleg as
a tear ran down her cheek. I licked her hand in the same way I used
to comfort you so many years ago. She expertly slid the hypodermic
needle into my vein. As I felt the sting and the cool liquid coursing
through my body, I lay down sleepily, looked into her kind eyes and
murmured "How could you?"

Perhaps because she understood my dog speak, she said "I'm so sorry."
She hugged me, and hurriedly explained it was her job to make sure I
went to a better place, where I wouldn't be ignored or abused or
abandoned, or have to fend for myself -- a place of love and light so
very different from this earthly place. And with my last bit of
energy, I tried to convey to her with a thump of my tail that my "How
could you?" was not directed at her. It was directed at you, My
Beloved Master, I was thinking of you. I will think of you and wait
for you forever. May everyone in your life continue to show you so
much loyalty.

A Note from the Author:
If "How Could You?" brought tears to your
eyes as you read it, as it did to mine as I wrote it, it is because
it is the composite story of the millions of formerly "owned" pets
who die each year in American & Canadian animal shelters.
Please use this to help educate, on your websites, in newsletters, on
animal shelter and vet office bulletin boards. Tell the public that the
decision to add a pet to the family is an important one for life,
that animals deserve our love and sensible care, that finding another
appropriate home for your animal is your responsibility and any local
humane society or animal welfare league can offer you good advice,
and that all life is precious.

Please do your part to stop the killing, and encourage all spay & neuter
campaigns in order to prevent unwanted animals.
Please pass this on to everyone, not to hurt them or make them sad,
but it could save maybe, even one, unwanted pet.
Remember...They love
UNCONDITIONALLY.

mardi 21 août 2007

lundi 20 août 2007

Colocataire recherché!

On est un jeune couple et notre coloc s'en va pour le 1er septembre! On cherche quelqu'un pour la remplacer! Chambre 12x12 meublée ou non à louer dans une belle grande maison sur deux étages, luxueuse et éclairée à St-Eustache. Secteur résidentiel très paisible. Arrêt d'autobus à une minute de marche et train à 5 minutes en auto (prend 30min pour aller au centre-ville). Foyer extérieur, piscine, grande terrasse, BBQ, lave-vaisselle, laveuse-sécheuse haut de gamme, électros en stainless, bain tourbillon, air climatisé, table de pool, 2e salon au sous-sol, tv plasma haute définition. Inclus: téléphone, internet extrême haute vitesse vidéotron, électricité, stationnement privé, et tous autres services inclus. Libre dès le 1er septembre. La personne doit être NON FUMEUR(euse). Une vie de rêve à prix abordable!(450$/mois)

samedi 18 août 2007

vendredi 17 août 2007

La douceur des fantasmes

Réalisés ou non, les fantasmes restent au coeur de l'érotisme. Partager vos fantasmes des plus simples au plus sophistiqués. Et faites un voyage étonnant au pays de l'imaginaire...

Qui oseras?

jeudi 16 août 2007