Et puis j’ai essayé, j’aimais aller à contre-courant, emprunter les sens interdits au réel comme au figuré…
Le temps passant, je n’en ai plus éprouvé ce besoin, je n’avais plus à me prouver à moi-même ce dont j’étais capable. Les interdits les plus forts sont ceux que je me suis imposés, il faut parfois du temps pour les déconstruire et acquérir sa liberté, la vraie, celle qui est intérieure. Plus j’avance en âge, plus je me permets d’être libre, mais il y a encore du boulot…
Aujourd’hui, le besoin s’est transformé en désir et je les savoure ces interdits dans tous les sens.
2 commentaires:
Le goût de l'interdit est toujours excitant ! ^^
C'est de l'adrénaline à l'état pur.
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