Lilypie 2ème anniversaire Ticker

vendredi 29 juin 2007

Top 14 de choses que je n'ai PAS faites aujourd'hui

14- Manger une girafe hypoglycémique
13- Écarteler un curé asiatique
12- Pondre un oeuf malveillant
11- Faire frire un casque de moto Yamaha
10- Inventer une couleur
9- Mourir en attachant mon lacet
8- Faire un clin d’oeil complice à une gomme à effacer
7- Lécher une imprimante Lexmark
6- Vaporiser du liquide jaunâtre sur une surface rugueuse en microfibres
5- Dédicacer un livre que je n'ai pas écrit et dont le titre n'est pas: "Le défi de Steve"
4- Donner la définition du mot "imbroglio" à un juif hassidique en montgolfière
3- Découvert les joies inhérentes à la combustion spontanée
2- Bu du sang à même la coupe Stanley
1- Adopter une colonie de ninjas retraités

Je mets dans mon ptit panier...

Je suis en VACANCES! Alors j’ai décidé de faire une checklist de choses à apporter lors de mes périples dans le royaume du moustique québécois.

- Une spatule à tartes pour me battre avec des chefs indiens rencontrés en route.
- Un appareil photo pour photographier tous les pompistes aux dents croches du Québec.
- Des CD de relaxation pour aliéner mon compagnon de route.
- Un nain de jardin gonflable pour agrémenter mes nuits.
- Une brosse à dents pour échanger avec les indigènes contre des fourrures.
- Des sous-vêtements propres pour me mettre sur la tête après avoir trop bu.
- Un crayon surligneur pour surligner.
- Trois jeunes prostitués mâles asiatiques récemment évadés de prison.
- Un objet inanimé qui pue pour mettre sur la table de chevet du motel.
- Mon album à colorier Ma Petite Pouliche même s’il est déjà colorié.
- Un truc en plastique mou pour mettre des trucs en bois durs dedans.
- De l’amour et de l’eau fraîche pour vivre.

Questions novatrices

Le Kurdistan ou Le cure-dents 'sti ?
Les blocs LEGO ou Des blogs légaux ?
Un indécis ou Deux nains déçus ?
Des invertébrés ou Des verres teints zébrés ?
Thérésa Martin ou Martin Rezza (ou Mère Thérésa tant qu'à faire)
Légendes d'automne ou Le gendre détonne ?
Le consensus ou Le con sans suce ?
La noune à Voutt ou La bite à Tibi ?

Commencements d’aurores

Encore un jour…
appliquée à toucher l'indicible, je vertige de vivre.
Je recense les espaces de lumière et les commencements
d’aurores. Les cicatrices s’effilochent et se diluent au fil du temps.

Encore un jour à moi...
S’il faut que pour renaître, ma plume s’applique à l’inédit, je la laisserai franchir les parapets, quitter le fil funambule pour plonger à gauche dans les champs de lavande ou me rouler à droite dans les parfums du soleil.

Je m'enivrerai de l’herbe vagabonde et tanguera dans le roulis des vents sauvages.

mercredi 6 juin 2007

Comme on change

Sans s'en rendre compte, on change, physiquement et dans notre façon de penser, d'être, de croire, de rêver, d'espérer... C'est un changement en profondeur, qui s'immisce en nous dès notre adolescence, et qui s'amorce peu à peu jusqu'à grandir, prendre de l'ampleur et du pouvoir sur notre vie, et dans notre vision de la vie. Je me rends compte peu à peu que moi je n'ai pas été épargnée, je change, j'ai changé énormément, même sur des choses auxquelles j'étais absolument certaine de ne pas changer. Comme quoi on n'est jamais sur de rien.

Je ne sais pas à quel moment on se met à stagner, à quel moment on ne change plus, c'est à quel âge qu'on reste figé dans nos idées et nos convictions ? Je ne suis plus une ado, je suis une femme qui change comme parfois une ado pourrait changer. Bien entendu des choses plus "concrêtes" et plus "sérieuses" me retiennent, et cette fois je ne peux plus partir dans mes délires, dans n'importe laquelle de mes envies, ni dans n'importe quel rêve. Donc les ailes sont là, mais pliées, toujours aussi douces et avides mais elles restent pliées.

Ce qui me fait parfois peur c'est que j'ai la sensation que la société actuelle nous façonne: on a beau lutter, avec toute notre force, n'empêche on se retrouve à un moment donné à faire comme tout le monde parce qu'il faut bien manger et vivre même si on ne le vit pas forcément bien.

Ça me fais vraiment flipper de constater que des personnes qui avaient des rêves et des idéaux, ont tout lâché parce que tu comprends il y a des factures à payer. Et le soucis aussi c'est que ces rêves bien souvent pour les concrétiser et bah il faut de la thune et la thune tu fais comment pour en avoir et bah tu bosses et tes rêves tu les mets en stand by au fond de ton coeur.
C'est la vie.

Ici, c'est la vie. Je ne crois plus vraiment au mariage et à ses vertues. Je ne sais pas, tout le monde se marie et je ne ressens plus rien, ni de la joie, ni de la jalousie, ni de l'amertume, rien, nada, juste que je ne piges plus pourquoi ils se promettent monts et merveilles alors qu'ils savent très bien que ça ne durera probablement pas. Enfin pour moi le mariage c'est foutu d'avance, je n'y ais plus droit.

Tellement de valeurs que l'on prône et auxquelles je ne crois plus vraiment... Puis tout ça me fais chier cette volonté d'être ou de se sentir toujours "comme les autres". Il est des choses auxquelles on renonce parce qu'on sait, on se rend compte que rien n'est vraiment acquis et que rien n'est si facile. Et puis il faut aussi se ranger à mon âge, il faut se poser "avoir un statut" et ça me fais flipper doucement et lentement mon statut "divorcée". Alors je me fous des conventions et des qu'en dira-t-on, je continue de vivre selon mes envies que je veux assouvir. Quand elles sont là près de moi et bah je ne les lâche pas.

Le petit chaperon rouge à ma façon

"Va dans les bois, va. Si tu ne vas pas dans les bois, jamais rien n’arrivera, jamais ta vie ne commencera. Va dans les bois, va.”

Dans mon histoire le petit chaperon rouge ne s’égare pas dans la forêt, ne se fait pas dévorer par le loup! Non, il prit la mer et s’en alla voguer vers des îles, bravant le danger, les vagues. Plus il s’éloignait des côtes, plus il était heureux car libre bien qu’étant à la merci des éléments. Rien ne lui faisait peur, le bleu de la mer le ravissait, les mouettes étaient ses compagnons de jeux, le soleil donnait à sa peau cette belle couleur ambrée sentant bon le pain d’épices. Un beau matin alors que l’horizon se colorait d’orange, il aperçut enfin L’Ile, celle qui depuis des jours hantait ses nuits. Elle était là, roche rouge émergeant des eaux. À sa grande surprise, un loup de mer l’attendait, un de ces capitaines au long cours. Il était là depuis bien longtemps, il savait qu’elle viendrait et elle a tout de suite su que son Ile c’était lui.

Mais hélas les plus beaux rêves ont une fin. Sagement le petit chaperon rouge se dirigea vers la maison de sa grand’mère, chemin faisant, il fit une mauvaise rencontre et se laissa croquer.


Traces de pas...

Un soir un homme fit un rêve.
Il rêva qu’il marchait au bord de la mer avec un proche qu’il aimait.
Sur le fond du ciel se déroulaient des scènes de sa vie.
Il remarqua deux traces parallèles de pas dans le sable.
L’une, la sienne, l’autre, celle du proche.
Quand la dernière scène de sa vie s’afficha, il se retourna pour revoir les traces de pas sur la grève.
Il remarqua qu’il n’y avait qu’une seule suite d’empreintes de pas sur le sentier de sa vie.
Chose étrange, les différents intervalles correspondaient aux périodes les plus tourmentées de son existence.
Intrigué, il interrogea son proche :“Quand j’ai décidé de te suivre tu avais dit que tu marcherais tout le chemin avec moi. Et je vois qu’aux pires périodes de mon existence, il n’y a qu’une seule trace de pas !
M’aurais-tu donc abandonné justement quand j’avais le plus besoin de toi ? "
Le proche répondit :“Je t’aime et jamais je ne t’ai abandonné.
Tu n’as vu qu’une seule trace de pas dans le sable aux moments les plus difficiles de ta vie car à ces moments là, je te portais dans mes bras".

Merci à tous ceux qui m'ont aidé à traverser mon divorce et qui m'ont fait confiance dans mon choix!

mardi 5 juin 2007

Recherche...


Je recherche deux billets pour le spectacle de Justin Timberlake le 18 août! :P :P Je sais... j'y suis déjà allée récemment, mais bon coudonc je dois être accro!