Lilypie 2ème anniversaire Ticker

dimanche 27 mai 2007

vendredi 25 mai 2007

Tout simplement...




Merci, tout plein de merci: pour toi, pour ton aide, ta compréhension, ton support, ta présence, ton amour, ta patience, ton déménagement, ta disponibilité, ton courage, ta douceur, tes baisers...

Tout simplement je t'aime!!

Rêve et réalité

La violence et la douceur, je vois tes yeux chercher les miens, ils veulent savoir jusqu’où, jusqu’où tu veux, mon bien-aimé, il n’y a pas de fin, cela ne peut finir. Personne ne pourrait effacer cet instant, pour toujours tu lanceras la tête en arrière, en criant, pour toujours je fermerai les yeux, laissant les larmes se détacher de mes cils, ma voix dans la tienne, tes bras me tenant serrée, il n’y a plus de temps pour fuir ni de force pour résister, cet instant-là devait être, cet instant est, crois-moi mon bien aimé, et cet instant sera, maintenant et à jamais, il sera jusqu’à la fin...

Sais-tu que tes yeux peuvent donner à la nuit les couleurs que tu veux?

Le plaisir naît du plaisir. La pluie qui ne cesse, un feu qui ne s’éteint, un corps qui ne finit. Un désir qui disperse les ombres. Nous ne dormons que pour être éveillés par le sel assoiffé de miel, par l’odeur du café à peine brûlé. Me brûle une soie que rien ne peut froisser, qui se tend davantage chaque fois qu’elle rencontre ma peau et crisse. L’air, caresse humide et tiède entre mes orteils, sur mes épaules. Une bouche qui dévore les présents du corps.

Alors entre le rêve et la réalité, ce temps de récréation m’est doublement nécessaire aujourd’hui. Le temps du désir et du plaisir, le temps de vivre…

J’avance vers mes rêves, relativisant le sens des réalités. Pourquoi me faire du souci ? Je vais accrocher mes ailes d’angelot et monter vers les hautes sphères de l’imaginaire, repousser mes frontières. Laisser les richesses de mon inconscient s’épanouir.

Bon week-end…

jeudi 24 mai 2007

Seulement deux ou trois papillons...


Le funambule glisse à la poursuite de ses chimères. La tête lui tourne un peu, il s’accroche à l’espérance. Sa danse s’est rétrécie piteusement sous l’assaut des pluies, ses pas sont désormais comptés. Petit homme miniature, étrange danseur flirtant sur la crête des étoiles…

Parfois il trébuche et le balancier hésite, à droite, à gauche, le souffle suspendu. Parfois il se hâte et s'envole à coups de cœur, à coups de passion et de fougue. Parfois hélas, il se fige en statue de pierre pétrifiée d’impuissance, foudroyée d'impotence.

Dans le grand parc aux certitudes soigneusement ordonnées, l’on peut voir en flânant, en mangeant son sandwiche, en buvant son coca, une forme étrange, figée entre terre et ciel, entre faim et soif, entre espoir et déroute. Et au delà du mouvement avorté d'un balancier devenu inutile, plane de ville en ville, l’écho rauque d'un cri invisible.

Les gens passent distraits…et tout en promenant le petit, la grand mère ou le chien, ils disent en souriant : quelle belle soirée d’été... !

Personne ne soupçonne (ou alors seulement deux ou trois papillons), le combat sans nom du marcheur obstiné…

Quelques questions sans importance

C'est quoi dit l'enfant en regardant l'oiseau saluer haut le soleil, pour ensuite se cacher dans le creux des nuages?
Ce n'est rien dit le frère, ce n'est qu'un vieux coucou qui s'essouffle en crachant ses moteurs...

C'est quoi dit l'enfant, planté bien droit devant l'océan, dont les clapotis réguliers lui promettent des secrets d'évasion?
Ce n'est rien dit le père, rien qu'une mare informe et sale, ne reste pas là, viens, dépèche-toi...

C'est quoi dit l'enfant, devant une terre malléable et féconde que ses petites mains avides ont hâte de modeler?
Ce n'est rien dit la soeur, c'est plein de boue ici, n'y mets pas les pieds, tu sentirais mauvais...

C'est quoi dit l'enfant, les yeux plein de bonheur serrant tout contre lui un petit bout de tendresse?
Ce n'est rien dit la mère, qu'un vieux tas de chiffon, tu es grand maintenant, il faut jeter ça...

C'est quoi dit l'enfant, un peu désemparé d'entendre la chanson monotone de toutes ces grandes personnes?
Mais ce n'est rien du tout, répondent-ils tous en choeur, que des choses sans importance, il faut grandir mon garçon...

Grandir? L'enfant hoche la tête et se demande comment grandir sans y perdre son âme...

vendredi 11 mai 2007

Tourner la page

J’ai tourné la page de mon livre d’histoire.
Un nouveau chapitre s’ouvre.
Je ne peux arrêter le temps.
Mes rêves m’appellent, me guettent, se dessinent.
Recommencer, toujours et encore, entreprendre…
Je sais qu’ils seront plus difficiles à réaliser,
Mais la peur de n’être pas à la hauteur
De mes propres rêves me gagne et me stimule.
Je me lance ce défi d’oser inventer ce présent,
Dont je deviens seule responsable,
Quand il n’y a encore rien et que tout est déjà là.

Parodie

Amusez-vous!

mercredi 9 mai 2007

Retour

Un petit mot rapide pour vous dire que je viens de ravoir ma connection internet... de retour demain avec des articles pour vous raconter tout cela!